Dans notre argot typographique, l’Ours désignait le compagnon pressier, en raison de ses mouvements lourds pour encrer les formes, marger et manier les palettes de papier. Le typographe, lui avec des mouvements de bras et de mains très rapides, composait les textes avec les lettres en plomb et les distribuait dans les casses une fois le tirage terminé, on l’appelait le Singe. Ce pourrait être une fable…
En tout cas l’envie de vous raconter des histoires.
Le papier est bien fait pour cela… non ?